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Guérir la Blessure de Rejet
Retrouver sa juste place et s'aimer pleinement
Vous vous sentez souvent de trop ?
Vous avez l’impression de ne jamais être vraiment accepté(e) ?
Ces sensations peuvent être les symptômes profonds de la blessure de rejet.
Invisible mais bien réelle, cette blessure peut conditionner toute une vie, saboter nos relations, altérer l’image que l’on a de soi, et même freiner notre épanouissement personnel et affectif.
Blessure de rejet : symptômes, conséquences et comportements associés
Blessure de Rejet :
Symptômes, conséquences
Et comportements associés
La blessure de rejet prend racine très tôt, souvent dans la petite enfance ou même dans la mémoire cellulaire et transgénérationnelle. Elle crée une peur intense de ne pas être aimé(e), reconnu(e) ou accepté(e).
Parmi les symptômes fréquents :
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Sentiment chronique d’exclusion ou de ne pas être à sa place.
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Difficulté à se sentir légitime, besoin de se justifier en permanence.
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Hypersensibilité au regard et aux mots des autres.
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Tendance à se dévaloriser ou à s’auto-saboter.
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Fuite émotionnelle : peur de créer des liens de peur d’être rejeté(e).
-
Isolement ou besoin de prouver sans cesse sa valeur.
Les comportements liés à la blessure de rejet sont souvent inconscients, mais ils impactent fortement nos relations amoureuses, familiales, professionnelles. La personne rejetée devient soit effacée, soit en lutte constante pour être aimée… au risque de ne jamais s’autoriser à être simplement elle-même.

Comment Guérir de la Blessure de Rejet ?


La blessure de rejet est l’une des plus profondes et des plus invisibles. Elle touche à notre existence même :
"Ai-je le droit d’être ici ? Suis-je légitime d’exister ?"
Pour la guérir, il ne suffit pas de comprendre intellectuellement son origine. Il faut traverser l’expérience émotionnelle, libérer les mémoires associées et réintégrer l’amour de soi à la racine.
Voici les grandes étapes de ce chemin de guérison
1. Reconnaître les signes de la blessure de rejet
Avant toute chose, il est essentiel de reconnaître cette blessure en soi, sans honte ni culpabilité. La blessure de rejet s’exprime souvent par :
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Un sentiment d’exclusion, d’être « à côté » du monde.
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Un besoin extrême de reconnaissance ou, au contraire, le repli.
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Des difficultés à se sentir digne d’amour ou d’attention.
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Une peur du contact ou de l’intimité émotionnelle.
-
Un auto-sabotage ou une fuite dès que l’amour ou le succès arrivent.
Reconnaître ces manifestations permet de ne plus s’y identifier, mais de les observer avec bienveillance comme des mécanismes de protection anciens.
2. Explorer l’origine de la blessure de rejet
La blessure de rejet peut remonter à :
-
La vie intra-utérine (grossesse non désirée, menace d’interruption…)
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L’enfance, lors d’un moment où l’enfant a interprété une situation comme un rejet (absence du parent, moquerie, séparation, silence)
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Des mémoires transgénérationnelles ou karmiques, où la personne porte inconsciemment un fardeau familial de rejet ou d’exclusion
-
Une incarnation non assumée, où l’âme a eu du mal à s’ancrer dans cette vie, cette famille, ce corps
Guérir commence par mettre en lumière l’origine, sans chercher à blâmer, mais en retrouvant un fil de compréhension qui restaure le sens.
3. Accueillir et traverser les émotions
La guérison ne peut être qu’émotionnelle avant d’être mentale. Les émotions refoulées liées au rejet sont souvent la tristesse, la peur, la honte, le vide intérieur. Ces émotions doivent être accueillies, ressenties et exprimées, dans un espace sécurisé. Tant qu’elles restent enfouies, elles dictent nos comportements. L’accueil sincère de ces états de vulnérabilité permet de désactiver les mécanismes de fuite ou d’hyper-contrôle. On cesse alors de « jouer un rôle » pour être aimé, et on commence à s’accepter tel que l’on est.
4. Reprogrammer son rapport à l’amour et à la valeur de soi
La blessure de rejet altère profondément notre rapport à l’amour. On croit qu’il faut mériter l’amour, être parfait·e, se cacher ou s’effacer pour ne pas déranger.
Guérir implique de changer la fréquence intérieure, en recontactant sa valeur originelle.
Cela peut passer par :
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Des affirmations puissantes (« J’ai le droit d’exister », « Je suis aimé(e) tel(le) que je suis »).
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Des visualisations guidées de réintégration.
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Des lettres symboliques de réparation à l’enfant intérieur.
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Des actes concrets d’affirmation de soi dans la matière.
C’est un travail de rééducation affective en profondeur, où l’on cesse de chercher à l’extérieur ce que l’on commence à se donner à l’intérieur.
5. Se relier à une dimension plus vaste de soi
Sur un plan spirituel, la blessure de rejet est souvent l’invitation à recontacter l’âme : cette part de nous qui n’a jamais été rejetée, mais qui a cru l’être en se densifiant dans la matière.
Guérir, c’est revenir à l’essence de l’être, là où il n’y a ni rejet, ni jugement, ni condition.
Certaines pratiques comme :
-
La méditation de reconnexion au Soi,
-
Les états modifiés de conscience,
-
Le travail avec les archétypes ou les symboles de guérison,
peuvent permettre d’ouvrir un espace de conscience plus grand, dans lequel la blessure se transforme en force de sensibilité, d’intuition et d’amour.
En résumé
Guérir la blessure de rejet, c’est :
-
Identifier ses manifestations dans votre vie
-
Aller vers l’origine pour la comprendre sans jugement
-
Accueillir les émotions sans les fuir
-
Reprogrammer vos croyances sur la valeur de votre être
-
Vous reconnecter à votre lumière originelle
Cette blessure ne vous définit pas. Elle vous a façonné·e, mais vous avez désormais le pouvoir de vous libérer et de reprendre votre place, en toute légitimité, dans le monde et dans l’amour.

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Qui Suis-Je ?
Maryline MÉREL, Thérapeute en Mémoire Cellulaire, spécialisée dans la déprogrammation des mémoires karmiques et transgénérationnelles, j’accompagne les personnes en quête de libération et d’évolution personnelle à travers des séances à distance.
Ma méthode repose sur un travail énergétique profond combiné au pouvoir du verbe, permettant de reprogrammer les schémas inconscients et d’alléger les mémoires émotionnelles héritées du passé.
Chaque séance est une invitation à se reconnecter à soi-même et à avancer vers plus de sérénité et d’alignement.


Ma Méthode d’Accompagnement
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Un formulaire préparatoire pour identifier vos peurs, croyances limitantes et schémas répétitifs liés au rejet
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Un entretien bienveillant, pour activer les prises de conscience, mettre en lumière les origines profondes de la blessure
-
Une séance de libération, où le pouvoir du verbe et la conscience vibratoire sont au cœur du processus
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Une reconnexion à votre essence, pour guérir en profondeur et reprendre votre juste place dans le monde grâce à un protocole d'intégration que vous pratiquerez en autonomie.
Vous êtes acteur ou actrice de votre transformation.
Vous ne subissez plus : vous choisissez de vous libérer.
D’où vient la blessure de rejet ?
Comprendre les origines pour mieux s’en libérer
La blessure de rejet ne surgit jamais sans fondement. Elle prend racine dans une expérience de non-accueil, réelle ou perçue, qui laisse l’enfant – ou même l’âme – avec l’impression douloureuse de ne pas être désiré(e), de ne pas avoir de place, de ne pas mériter d’exister. Cette blessure se forme très tôt, souvent avant même la naissance, et peut prendre différentes formes selon l’histoire de chacun. Il ne s’agit pas ici de juger les parents ou l’environnement familial, mais d’identifier les causes profondes pour offrir à cette partie blessée la reconnaissance et la réparation dont elle a besoin.
1. Enfant non désiré
C’est l’un des contextes les plus fréquents d’émergence de la blessure de rejet. Quand un enfant est conçu sans que ses parents l’aient voulu consciemment, même si celui-ci est finalement gardé et aimé, l’empreinte émotionnelle du non-désir peut rester dans sa mémoire cellulaire.
L’enfant peut alors ressentir, même inconsciemment :
« Je ne suis pas attendu. Je ne suis pas un cadeau. Je dérange. »
Cette impression peut conduire à un sentiment d’illégitimité profonde dans la vie, avec une tendance à s’effacer ou à douter constamment de sa valeur.
3. Enfant arrivé "au mauvais moment"
Il arrive que l’enfant soit désiré en soi, mais que les circonstances de vie – instabilité, séparation, chômage, maladie, deuil, déménagement, etc. – fassent que sa venue n’est pas accueillie avec joie ou paix.
Cela crée un conflit énergétique à la source, où l’enfant capte :
« Je ne tombe pas bien. Je complique tout. On aurait préféré que je ne sois pas là maintenant. »
Cela peut développer une culpabilité inconsciente d’exister, et plus tard une peur de prendre de la place ou de déranger.
5. Rejet parental inconscient ou transgénérationnel
Parfois, même en l’absence de circonstances dramatiques, un ou les deux parents peuvent eux-mêmes porter une blessure de rejet non guérie. Ils la transmettent alors sans s’en rendre compte par des comportements distants, un manque d’affection, des attentes trop élevées, des silences.
De même, certains schémas de rejet sont transmis transgénérationnellement, par loyauté invisible :
-
une grand-mère rejetée par sa famille,
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un oncle exclu de la lignée,
-
une filiation illégitime cachée, etc.
L’enfant hérite alors de cette mémoire de rejet, sans avoir les clés pour la comprendre.


2. Le sexe de l’enfant ne correspond pas aux attentes
Si les parents (ou un parent en particulier) attendaient un garçon et que naît une fille, ou l’inverse, l’enfant peut le ressentir très tôt à travers des paroles, des gestes ou simplement des vibrations non verbalisées.
Ce rejet symbolique de son identité biologique peut marquer profondément le psychisme et générer un conflit d’identité :
« Je ne suis pas comme ils voulaient. Je ne suis pas à la hauteur de leurs rêves. »
Cela crée parfois une difficulté à s’incarner dans son genre, sa sexualité, ou même sa place dans la lignée familiale.
4. Enfant issu d’un viol ou d’un inceste
Lorsque l’enfant est conçu dans un contexte de violence, d’abus sexuel ou d’inceste, même si cela n’a jamais été verbalisé, l’empreinte énergétique transmise est extrêmement douloureuse.
L’enfant capte très tôt un climat de honte, de rejet, de silence, voire de haine, qui n’a rien à voir avec lui mais qu’il intériorise comme s’il en était responsable.
« Je suis un accident. Je suis sale. Je suis né·e du mal. »
Cette blessure est souvent lourde à porter, car elle mêle la blessure de rejet à celle d’abandon, voire d’humiliation, mais elle peut aussi être profondément transmutée dans un travail thérapeutique respectueux.

6. Fausse couche avant ou après, jumeau perdu
Un enfant peut aussi ressentir un rejet indirect, si par exemple une fausse couche a eu lieu juste avant sa venue, ou s’il avait un jumeau in utero qui n’a pas survécu.
L’enfant capte alors un deuil non fait, une ambivalence ou une peine profonde chez les parents, qu’il peut interpréter comme un :
« Je ne suis pas celui ou celle qu’ils voulaient. Je ne suis qu’un remplacement. »
Cette dynamique peut créer une confusion intérieure, un sentiment de décalage ou de vide identitaire.
Une blessure d’âme, mais pas une fatalité
Quelle que soit son origine, la blessure de rejet n’est pas une condamnation. C’est une porte d’entrée vers une guérison profonde. En identifiant ses racines, on commence à désamorcer les croyances toxiques qu’elle a pu générer : « je ne vaux rien », « je suis de trop », « je n’ai pas ma place ».
En cheminant avec douceur et courage, il devient possible de réintégrer l’amour de soi, d’accueillir son incarnation avec joie, et de transformer cette blessure en force de présence, de sensibilité et de lumière.
TÉMOIGNAGES
Nathalie
"Je me suis toujours sentie invisible. Même dans mes relations amoureuses, je me faisais petite pour ne pas déranger. Cette séance a été une révélation. J’ai compris que je ne suis pas née pour être rejetée, mais pour exister pleinement. Depuis, je me sens plus en sécurité dans mes relations. Je m’autorise à prendre ma place."
Agnès
"Cette blessure gouvernait toute ma vie. Je disais oui pour ne pas être rejetée. Je fuyais les relations de peur de souffrir encore. Grâce à cette séance, j’ai pu libérer des mémoires anciennes, transgénérationnelles même. Aujourd’hui, j’ose dire non, je m’affirme avec douceur. Je me sens enfin alignée."
Alexandra
« Pendant longtemps, j’avais constamment le sentiment de devoir en faire toujours plus pour mériter l’attention des autres. J’étais épuisée, vidée intérieurement, sans repères. Grâce à ce travail en profondeur, j’ai pu renouer avec ma véritable valeur. Ce n’est pas une magie instantanée, mais une libération authentique, profonde et vibrante. J’ai cessé de courir après l’amour extérieur, pour enfin apprendre à m’aimer moi-même. »
Vous souhaitez identifier les racines profondes de votre blessure de rejet ?
Je vous propose un formulaire de pré-séance dédié, pour explorer :
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Vos peurs inconscientes liées au rejet
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Vos croyances limitantes sur votre place dans le monde
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Vos schémas de relation répétitifs
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Les comportements auto-saboteurs et les compensations inconscientes
👉 Ce questionnaire me permet de vous accompagner avec justesse et précision, en tenant compte de votre histoire unique.
N’attendez pas qu’un autre vienne vous valider. C’est vous, aujourd’hui, qui pouvez choisir de vous guérir.
Je vous accompagne avec douceur, clarté et profondeur pour transformer cette blessure en une force d’amour, d’alignement et de rayonnement personnel.
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